Après avoir été comédienne, marionnettiste et metteuse en scène, Marine Auriol travaille dans la communication publique. Elle continue d’écrire pour le théâtre et encadre des ateliers d’écriture pour jeunes et moins jeunes dans lesquels elle utilise les outils numériques et les réseaux sociaux pour interroger les rapports à l’écriture aujourd’hui.
Dans le cadre du projet "Lab Ecriture" avec la BDP 78, elle écrit "Le monde serait plus simple en 140 caractères (mais pas forcément plus beau)". Elle participe au projet "les Nouvelles mythologies de la jeunesse" avec le Théâtre du Pélican pour lequel elle écrit "Ce qu’ils disent (Sale hope)" et au projet d’écriture numérique collaborative/DRAAF et DRAC Auvergne avec 6 lycées agricoles.
Elle bénéficie également de résidences d’écriture comme avec le CEAD au Québec, à la Ferté-sous-Jouarre ou en Lozère.
Sa saga théâtrale les Chroniques du Grand Mouvement a reçu différentes aides et prix d’écriture (Beaumarchais, DMDTS, CNT), le premier chapitre "Zig et More" est traduit en anglais, allemand et roumain dans le cadre du programme TRAMES (Comédie de Saint-Etienne)
Deux de ses nouvelles, "la nuit d’Angus" (heroic fantasy) et "Et si l’équinoxiale n’était qu’une mort de plus" (SF) sont par ailleurs publiées aux éditions Mille saisons.