Voilà, vient de se terminer en festival et en publication, une aventure de presque 4 ans avec le théâtre du Pélican, à Clermont-Ferrand. Le projet, Nouvelles mythologies de la jeunesse, avec 9 auteur.rice.s, des centaines de jeunes, des professeur.e.s, des collèges, des lycées, des comédien.ne.s, Jean-Claude Gal et toute son équipe, les Editions Théâtrales, etc, s'est clôturé ce week-end pendant le Festival, La cour aux ados, à la Cour des 3 Coquins à Clermont-Ferrand.
Les pièces sont à présent prêtes à continuer leur chemin, grâce aux Editions Théâtrales qui les publient dans un magnifique ouvrage collectif.
C'est toujours émouvant de terminer ces aventures-là où chaque rencontre de jeunes, de professeur.e.s, d'ami.e.s auteur.rice.s, de passionné.e.s nourrit, rend fort.e, rappelle qu'écrire, c'est aussi confronter des idées à la pratique, des mots à la voix, du temps à prendre à la vie qui s'agite. J'espère (et je crois) que nous avons mis notre petite pierre dans la cour de ces ados-là et qu'ils ont été bouleversé.e.s par cette aventure comme nous avons pu l'être.
Elles sont nécessaires, elles doivent continuer, elles doivent servir d'exemple à d'autres, surtout alors que nous sommes au bord d'un précipice électoral. Dommage que les institutions nous aient laissé.e.s entre nous pendant le festival. Voir de ses yeux d'administration, l'énergie, la force et l'intelligence que communiquent les jeunes sur et hors le plateau permettrait sans doute de remplacer une cellule Excel par du citoyen.ne en devenir et de positionner le curseur là où, certes il gratte, mais où il sert à tou.te.s.
Le Pélican attaque son projet suivant, longue et belle vie à celui-ci mais longue et belle suite aussi à nos nouvelles mythologies pour qu'elles continuent à questionner le monde en donnant la parole aux jeunes !
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Une librairie pour trouver les textes

Enfin, on s’est attaqué à Twitter (sans twitter pas encore autorisé sur les PC du Collège à cause d’une autrice qui a oublié de prévenir en amont !) D’abord pour réfléchir ce que c’est, à quoi ça sert et puis pour dépasser les « footballers », « les stars », « les politiques », tous ceux donc qui ont des choses « si » passionnantes à raconter au monde. On s’est rappelé que Twitter sert aussi en cas de catastrophes, d’événements, de drames où la communication doit se faire vite ou sans le prisme d’un état qui contrôlerait certains messages… On a lu